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Taïchi Chuan

Les sinogrammes du tai-chi-chuan sont composés des éléments taiji 太極, « faîte suprême », et quan 拳, « poing, boxe » et traduits littéralement par « boxe du faîte suprême », ou « boxe avec l'ombre », car l'observateur a l'impression que le pratiquant lutte contre une ombre. Une autre traduction courante est « la boxe de l'éternelle jeunesse », le faîte suprême pouvant être traduit moins littéralement par « immortalité » ; but suprême de l'alchimie taoïste.

Certaines légendes attribuent la création du tai-chi-chuan au taoïste semi-légendaire Zhang Sanfeng, vers le début de la dynastie Ming (XIIIe-XIVe siècle). Le Livre complet sur les exercices du tai-chi-chuan, écrit par Yang Chengfu (1883-1936), raconte que Zhang Sanfeng créa le tai-chi-chuan vers la fin de la Dynastie Song (960-1279) puis le transmit à Wang Zongyue, Chen Zhoutong, Zhang Songxi et Jiang Fa. Un peu plus tôt, Li Yishe (1832-1891) écrivit dans sa Brève introduction sur le tai-chi-chuan : « Le tai-chi-chuan fut fondé par Zhang Sanfeng des Song. » Zhang créa l'école intérieure (neijia 内家). Il s'installa dans le temple du mont Wudang, province de Hubei, pour enseigner sa discipline.

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Bagua

Les bases du Bagua s'illustrent par l'observation des phénomènes astronomiques de révolution, de rotation et de pivot. Dans les mouvements de base du Bagua on marche en tournant autour d'un point, comme la terre tourne autour du soleil. La terre effectue simultanément une révolution autour du soleil et une rotation sur elle-même. Pour conserver cette image le changement de la paume en Bagua établit le même rapport qu'entre la terre et le soleil.

Comme le Tai Ji Quan ou le Xing Yi Quan, le Ba Gua Zhang ne désigne pas un style unique, mais plutôt une famille d'écoles qui ont des points communs et des différences aussi bien dans les déplacements que dans le positionnement des mains.

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Kung Fu

Le Kung-fu, transcription de gōngfu a été introduit en Europe dans les années 1970. Littéralement, « Gong » désigne la « maîtrise », le « perfectionnement », ou une action pour laquelle beaucoup de temps a été consacré. Fu désigne les techniques en tant que contenu, ou l'énergie qui a été investie dans l'action de cette technique.

L’origine des arts martiaux est attribuée à des nécessités d'auto-défense, des activités de chasse et à la formation militaire dans l'ancienne Chine. Le combat au corps à corps et la pratique des armes ont été importants dans la formation des soldats chinois. Les arts martiaux chinois intégrèrent à leur pratique différentes philosophies et notions, s'élargissant, au-delà de la seule auto-défense, à l'entretien physique pour finalement devenir une méthode d’éducation personnelle.

Le style Shaolin quan est généralement considéré comme le premier art martial institutionnalisé. Selon la légende, Boddhidarma aurait enseigné cet art martial au ve siècle aux moines du temple Shaolin, pour les aider à se défendre des animaux et des brigands qui rodaient autour du monastère. Toutefois, la plus ancienne preuve d’une participation de moines Shaolin à des combats est une stèle datant de 728 qui atteste une défense du monastère contre des bandits vers 610, et le rôle ultérieur dans la défaite de Wang Shichong à la bataille de Hulao en 621.

deux (à mains nues ou avec armes), des techniques de combat (sanda) et surtout une conception de sa spécificité (gestion de la force, de l'intention, etc.) qui le différencie des autres styles.
 
Les formes et les techniques de combat empruntent souvent à la nature et aux animaux leurs applications martiales. Ainsi, ont été développées les formes du tigre et du dragon, de la grue, du singe ou encore de la mante religieuse.
Le Ba Gua Zhang appartient à la famille des arts ou styles dits "internes", nei jia quan. C'est une boxe originaire du nord, liée mythologiquement aux montagnes Wudang.
 
Recherchant de la décontraction et la fluidité dans le geste (avec une préférence manifeste pour l'utilisation de l'énergie et un refus de la force physique), le Bagua zhang (ou Pakua chang) se distingue par l'utilisation marquée de la paume de main (c'est-à-dire de la main ouverte, de préférence au poing) et par des déplacements circulaires, des rotations. Comme les autres arts internes, le Ba Gua Zhang est à la fois un art martial fondé sur une stratégie du combat originale (une stratégie du contournement et de l'enroulement), une gestuelle de santé (une thérapeutique énergétique) et une discipline spirituelle fondée sur la répétition du pas glissé, parfois appelé "le pas dans la boue" (ba gua tang ni bu, 八卦趟泥步).

Le Ba Gua Zhang

Le Kung Fu

Il regroupe des formes à mains nues mais aussi d’épée, de bâton, de Fuchen, …
Le tai-chi-chuan se pratique à mains nues et peut être associé à des formes utilisant des armes (éventail, épée, bâton…).

Le style Wudang

Kung-fu est en Occident le nom généralement donné aux arts martiaux chinois externes comme internes, bien que l'on utilise rarement ce terme pour désigner le tai-chi-chuan.
 
La pratique du Kung-fu est très diversifiée. C'est un style contenant des enchainements à mains nues et avec armes (tao lu), des exercices de Qi gong, des exercices d'assouplissements, des éducatifs variés, des qi na (techniques de saisies, de clés et de projections), des enchainements à
Le style Wudang, provenant du mont Wudang, est considéré comme le style le plus ancien connu à nos jours.
 
Il insiste sur un travail des jambes, notamment les positions basses (mabu, pubu), ainsi que sur l'ouverture du bassin. Il favorise la tonicité musculaire et la souplesse, ainsi qu’un positionnement juste du corps.

Le Taichi Chuan

Taichi Wudang

Le Taichi Chuan, le Kung Fu et le Bagua

Le tai chi chuan ou tai chi ou taiji quan  est un art martial chinois, dit « interne » (neijia), d'inspiration taoïste. Parfois réduit en Occident  à une sorte de gymnastique, il est apprécié de tous pour son effet bénéfique sur le corps et la santé, il n’en reste pas moins un art martial redoutable.
 
Les mouvements ont à la fois une application martiale (esquives, parades, frappes, saisies…) et énergétique. Ils auraient été créés et développés par des moines médecins ou guerriers taoïstes.
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